Une fois passées les portes vitrées automatiques façon aéroport, l’embarquement est immédiat : olivier jaillissant d’une immense table d’hôte en bois délavé, papier peint dégradé d’azur, murs blanc éclatant, tabourets de paille… En somme, il ne manquerait plus qu’un âne pour parfaire le tableau idyllique...